

ATTENTION ! NOUVELLE ANTENNE DE TELEPHONIE MOBILE : Petit Record 1 sur le toit de l’immeuble, avec de la 5G en mode adaptatif !
PUISSANCE TOTALE OFFICIELLE : 3040W
PUISSANCE TOTALE RÉELLE TOUT AZIMUTS SANS LE « FACTEUR DE CORRECTION » (KAA=0.13) : 8347W
(avec prise en compte des réflexions d'ondes sur le toit du bâtiment, sans cela : 7656W)
NON À CE RAYONNEMENT ENCORE AUGMENTÉ DANS UN QUARTIER D'HABITATIONS !
4 ANTENNES DANS UN RAYON DE 400m !

QU’EST-CE QUE CELA IMPLIQUE ?
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Tout d'abord, une évidente augmentation du rayonnement global du fait de la présence d'émetteurs en technologie 3G, 4G, et 5G adaptative. Une puissance totale réelle tout azimuts de 8347W, répartie sur 360° avec un maximum de 3307W dans le secteur 0 à 90°.
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La 5G adaptative utilise des faisceaux directionnels avec des puissances plus élevées pour atteindre des utilisateurs distants et permettre des débits très élevés. Ainsi, elle peut rayonner à hauteur de 13.9V/m chez vous grâce au « facteur de correction », du moment que la limite de 5V/m est respectée en moyenne sur 6 minutes.
Maximum acceptable selon le Conseil de l’Europe, EUROPAEM, Baubiologie : 0.2V/m. -
De ce fait, nos organismes seront soumis à des « pics » d’intensité brutaux et intenses, associés à de fortes variations d’intensité, ce qui est biologiquement mal toléré.
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la 5G a de possibles conséquences sur notre santé car ses effets biologiques et sanitaires n’ont pas été vérifiés en utilisation réelle. De nombreux témoignages attestent d’effets ressentis qui n’étaient pas présents avec les générations de téléphonie mobile précédentes. L’ « effet cocktail » dû au mélange des rayonnements de la 3G, 4G, 5G, WiFi, etc n’a pas fait l’objet de tests scientifiques, non plus que la 5G en tant que telle en mode réel.
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BERENIS, le groupe d’experts mandaté par l’OFEV, a reconnu (newsletter janv. 2021) l’existence d’effets biologiques comme le stress oxydatif et des aggravations de pathologies existantes. SWISSCOM a également reconnu les possibles dommages à l’ADN dans son brevet n°WO2004/075583.
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Les puissances d’émissions maximales de la 5G sont déclarées de façon trompeuse dans la fiche technique du fait de l’utilisation d’un « facteur de correction » (KAA) qui divise dans le cas présent les puissances émises par 7.69. On a ainsi des puissances réelles maximales de 3307W, 2495W, 2545W aux azimuts 45°, 170° et 310° (au lieu de 940W, 800W, 1300W selon la fiche technique). Le Tribunal Fédéral a statué qu’il est nécessaire d’indiquer le facteur de correction et les puissances maximales sur la fiche technique de mise à l’enquête, faute de quoi la mise à l’enquête n’est pas valable.
C’est précisément le cas de cette mise à l’enquête CAMAC 236591.
[Références : Arrêts ATF 1C_506/2023, ATF 1C_414/2022, ATF 1C_310/2024]

Ci-dessous la carte de la zone concernée. Les coordonnées de l'antenne sont 22538208 / 1165480 sur la carte de l'OFCOM. Le cercle de rayon 505m est celui correspondant au périmètre officiel à l'intérieur duquel les résidents sont habilités à former opposition. Le rayon de ce cercle a toutefois été déterminé avec le facteur de correction de 7.69 selon les caractéristiques de l'antenne 5G à 32 "subarrays". On divise en conséquence par 7.69 la puissance réelle de l'antenne. C'est toutefois trompeur car cela résulte d'une estimation statistique du rayonnement dans un cas qu'on considère comme standard, et cela n'est en plus valable que parce qu'on considère uniquement l'effet thermique (échauffement des tissus) et qu'on peut dès lors estimer une valeur moyenne.
Sans ce facteur de correction, le rayon d'opposition serait de 805m. Voir carte ci-dessous.
NOTE : sur cette carte officielle le nouvel écoquartier OSIRIS n'apparaît pas encore mais il est inclus dans le cercle de rayon d'opposition 505m.
Lien vers la carte OFCOM : https://s.geo.admin.ch/vk8hpm38q9ri

QUARTIER "OSIRIS"

Fiche technique résumée
Dossier complet


"5G DE BASE" OU "5G ADAPTATIVE" (5G+) ?
Pour rappel, les antennes 5G dites "adaptatives" focalisent des faisceaux d'ondes puissants sur les utilisateurs ET sur les personnes se trouvant dans les faisceaux. Des doutes sérieux existent sur le fait que les intensités de ces faisceaux respecteront les normes, par ailleurs trop élevées rappelons-le pour garantir une innocuité au niveau biologique. Les "facteurs de réduction" et la moyenne sur 6 minutes appliqués aux calculs de ces antennes permettent d'émettre à forte puissance en prétendant respecter les valeurs limites.
Dans le cas de l'antenne SALT de la gare du LEB, selon la documentation officielle le facteur de réduction est de 5, les antennes ayant 16 "subarrays".

Il est donc IMPORTANT de s'opposer à la mise en place de ces nouvelles antennes, pour notre santé.
Plus d'infos ici : https://www.stop5g.ch/5g-et-sante et ici : https://www.pierredubochet.ch/veille-sanitaire-5g.html
Actuellement les opérateurs et les milieux officiels prétendent que les antennes 5G adaptatives rayonnent beaucoup moins que les antennes standard, mais de nouveau ceci n'est que très partiellement vrai car d'une part car les valeurs maximales (dites de crête) ne sont pas prises en compte comme elles le devraient (elles sont très néfastes au niveau biologique), et d'autre part cela dépend fortement du nombre d'utilisateurs connectés. Pour l'instant il n'y en a que relativement peu ! Lorsqu'il y en aura davantage, et qu'il y aura des quantités importantes d'objets connectés, ce ne sera plus le cas.
L'Agence Nationale des Fréquences (ANFR) en France a mesuré des antennes directives 5G et a constaté des valeurs d'irradiation maximales très élevées : 8 à 10 fois plus que ce que génère un iPhone moderne sur la tête de l'utilisateur !
POURQUOI REFUSER LA 5G ?

Contre-argumentaire à la 5G

QUESTIONS IMPORTANTES
"MONITORING" DES ANTENNES 5G : un des arguments donnés par l'Etat et les opérateurs est que les émissions des antennes sont surveillées par un système automatique. C'est censé être le cas, mais dans les faits ce système n'est pas fiable puisqu'une enquête a montré qu'une antenne sur cinq émet plus fort que ce qu'autorise la réglementation. De plus avec les antennes adaptatives, le problème est qu'on ne mesure pas les antennes 5G, on calcule leur rayonnement par extrapolation à partir de leur signal "à vide" (signal de synchronisation). On peut déjà douter du bien-fondé de cette démarche, particulièrement lorsqu'il y aura énormément d'appareils connectés à l'antenne.
L'autre problème est la façon de procéder pour réaliser cette surveillance des 5G adaptatives : on compte sur le journal des émissions de l'antenne, réalisé par un logiciel fourni par le fabricant d'antennes et qui est sous contrôle des opérateurs. C'est comme si on nous demandait de vérifier nous-mêmes nos dépassements de vitesse sur l'autoroute et de nous dénoncer en cas d'infraction...
PERTE DE VALEUR IMMOBILIÈRE : un autre argument que nous n'avons pas encore mentionné est celui de la perte de valeur immobilière des biens exposés au rayonnement d'une antenne, et particulièrement s'il s'agit d'une antenne 5G. Cette perte de valeur est variable mais comprise en général entre 20 et 50% selon les agences immobilières (voir postulat Hollenstein et interpellation Schmid ci-dessous).
Cette perte n'est cependant PAS PRISE EN COMPTE et est niée par les autorités, elle n'en est pas moins réelle.
Postulat Hollenstein : Antennes de téléphonie mobile et impact sur la valeur foncière des immeubles concernés
Interpellation Schmid : Dépréciation de biens immobiliers due aux antennes de téléphonie mobile. Responsabilité.

SATURATION DU RÉSEAU ? Il est nécessaire de comprendre que non, il n'est pas indispensable d'avoir la 5G pour éviter la saturation du réseau, comme le prétendent les opérateurs. Actuellement, 80% des données qui circulent sur le réseau mobile sont des vidéos, la très grande partie étant du "récréatif" donc loin d'être indispensable. Les vidéos visionnées en mode mobile ont une résolution inutilement élevée pour les petits écrans des smartphones, l'oeil est incapable de les apprécier. On pourrait fort bien diminuer la résolution de ces vidéos sans impact visuel. Une grande partie de ces données sont du "pseudo-mobile" car utilisées par des appareils situés à l'intérieur, et qui devraient être connectés au réseau fixe de fibre optique ou câble. Les opérateurs offrent des abonnements illimités à prix cassés et contribuent ainsi à cette surcharge du réseau mobile. Voir infos ici : https://www.stop5g.ch/5g-et-justifications
LA 5G, BONNE POUR L'ENVIRONNEMENT ?
Il y a une affirmation qui est souvent utilisée comme motivation pour le déploiement de la 5G, c'est celle de sa consommation d'énergie prétendument réduite.
Des informations contradictoires circulent à ce sujet. Les opérateurs, et même certains scientifiques en particulier disent que la 5G va consommer moins d'énergie car plus efficace énergétiquement, vu que par « bit » d’information transmis elle utiliserait moins d’énergie. Mais d’un autre côté l'IEEE (www.ieee.org) dit que les stations de base 5G vont consommer trois fois plus que les stations de base 4G. (réf : leur revue « Spectrum » du 24 juillet 2019).
Le problème est que les deux affirmations sont vraies : à puissance égale la 5G, grâce au temps de transmission plus court et au procédé de codage augmenté (QAM-256 ou même 1024) a besoin de moins d'énergie par bit de transmission que la 4G. Mais d'un autre côté, pour transmettre en mode 5G, il y a besoin de davantage de puissance pour avoir un signal très propre à la réception, faute de quoi le décodage ne pourra pas se faire correctement, ainsi que l'explique l'IEEE dans son article (Spectrum 24.07.2019). D'autres facteurs interviennent, comme le "PAPR" (peak-to-amplitude power ratio) qui est plus élevé avec la 5G. Au final, ceci peut expliquer que les stations de base 5G consommeront davantage que les 4G. En Chine, dans certaines villes les stations 5G sont éteintes la nuit à cause de leur trop grande consommation d'énergie...
La 5G étant destinée à connecter des dizaines, des dizaines ou des centaines (!) de milliards d’objets connectés dévoreurs de ressources, producteurs de déchets électroniques, et générateurs de très grandes quantité de données qui consommeront énormément d’électricité, le bilan final est très négatif.
Le déploiement de la 5G va donc dans le sens opposé de ce qu'il faudrait, et n'est pas compatible avec la volonté de réduire notre empreinte écologique. Les objectifs climatiques ne seront pas remplis avec l'utilisation de cette technologie !
Plus d'infos ici : https://www.stop5g.ch/5g-et-environnement
LA 5G, BONNE POUR L'ENVIRONNEMENT, VRAIMENT ?
5G - EFFETS BIOLOGIQUES ET SANITAIRES
En 2004, Swisscom AG a déposé un brevet concernant un système de réduction de l'électrosmog pour des systèmes mobiles, typiquement un WiFi. Dans cette patente, il est dit : «Il a donc été possible de montrer que la radiation des systèmes radio mobiles pouvait causer des dommages au matériel génétique, en particulier aux globules blancs dans le sang humain, pour lesquels l’ADN pouvait être endommagé et le nombre de chromosomes changé (aneuploïdie). Cette mutation peut donc, en conséquence, amener un risque accru de cancer». Et ceci, hors d'un effet thermique, c'est précisé dans le document. Il s'agit donc d'un effet biologique.
Les dommages au matériel génétique sous l'effet des ondes électromagnétiques de basse intensité ont été mis en évidence par plusieurs études, contrairement à ce que Swisscom tente de prétendre actuellement.
Ceci concerne tous les types d'ondes électromagnétiques pulsées haute fréquence, telles qu'utilisées dans la transmission de données sans fil, et pas uniquement la 5G.
BERENIS, le groupe d'experts mandatés par l'OFEV, a récemment reconnu dans sa newsletter de janvier 2021, l'existence de stress oxydatif au niveau cellulaire, ainsi que d'aggravations potentielles de certaines pathologies pré-existantes. Citation : [...] la majorité des études animales et plus de la moitié des études cellulaires fournissent des indications de stress oxydatif accru induit par les CEM (champs électromagnétiques) HF et BF. C’est le cas pour une variété de types de cellules, de durées d’exposition et de dosages, également dans la gamme des valeurs limites de l’installation (< 5V/m).
[...] l’exposition aux CEM, même à faible dose, peut entraîner une rupture de l’équilibre oxydatif.
Et avec la 5G, il faut fatalement augmenter les puissances émises pour obtenir le débit supérieur souhaité. Les opérateurs veulent plus que tripler les valeurs limites (passer de 6V/m à 20V/m), c'est ce qui est demandé par la motion 20.3237 et qui risque d'être avalisé bien que le Conseil Fédéral (S. Sommaruga) ait promis de ne pas augmenter les valeurs limites, suivant l'avis du Conseil National et du Conseil des Etats et aussi à cause de l'opposition de plus en plus généralisée dans la population.
Le Conseil Fédéral avait communiqué ceci, le 12 mars 2018 déjà : "Il est toutefois envisageable d'adapter les méthodes de mesures et de calcul pour les limites préventives des émissions. Cela permettrait une augmentation modérée de la capacité des sites existants, et cela sans modifier l'ordonnance précitée et en maintenant inchangées les valeurs limites d'immissions. Le déploiement initial de la 5G, dans l'attente d'une éventuelle révision future des valeurs limites, sera ainsi facilité."
https://www.parlament.ch/fr/ratsbetrieb/suche-curia-vista/geschaeft?AffairId=20185209
LA RÉSOLUTION N°1815 DU CONSEIL DE L'EUROPE PRÉCONISE DES VALEURS EN-DESSOUS DE 0.2 V/m !
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ATTENTION donc, car grâce à des astuces de calcul des rayonnements, les opérateurs peuvent augmenter les émissions de leurs antennes en PARAISSANT RESPECTER LES VALEURS LIMITES, en utilisant les facteurs de réduction (jusqu'à 10) selon les "aides à l'exécution" publiées par l'OFEV, et inclues maintenant dans la nouvelle révision de l'ORNI (Ordonnance sur le rayonnement non ionisant).
Une moyenne sur 6 minutes au lieu des valeurs instantanées comme jusqu'ici permet d'avoir des dépassements importants (jusqu'à 15.8V/m).
Il est également nécessaire d'ajouter que des études scientifiques ont mis en évidence l'impact négatif des ondes électromagnétiques (RNI) sur le système immunitaire. En particulier, on a constaté que le mécanisme d'action des RNI sur la cellule (activation des canaux calciques) facilitait la réplication de certains virus. Ceci est le cas pour tous les types d'ondes électromagnétiques utilisées dans les systèmes mobiles et n'est pas lié à la 5G en particulier, mais du fait des augmentations d'irradiation auxquelles il faut s'attendre avec le déploiement de cette dernière, ce problème risque d'être accentué. Voir ce document pour davantage d'informations.
5G au détriment de la santé
Un article de la Dr. Edith Steiner, membre de l'association "Médecins en faveur de l'environnement" (MfE / AefU)
Elle est également membre du groupe de l'OFEV qui a établi le rapport sur la téléphonie mobile en fin d'année. Elle insiste pour une réduction des valeurs limites à au moins 0.6V/m.
Le Conseil de l'Europe, dans sa Résolution n°1815, réclamait même moins de 0.2V/m, alors qu'en Suisse nous avons une limite d'émission à 5-6V/m.
Il est important de savoir que ces 5 à 6V/m sont une limite d'émmission par antenne, la limite d'immission (somme totale de toutes les sources de rayonnement auquel on est soumis à un endroit donné) est de 61V/m, lorsque par exemple on se situerait au centre d'un triangle formé par trois antennes, la limite d'émission de chaque antenne ne prendra pas les deux autres en considération si elles sont hors d'un certain périmètre qui dépend des puissances en jeu. De plus avec les antennes adaptatives 5G, on ignore les contributions des multiples réflexions sur le sol et les bâtiments voisins au rayonnement principal.

"5G : on nous ment sur les conséquences" (février 2020)
Dans le magazine l'Illustré, un ingénieur EPFL en génie électrique explique pourquoi la résistance à la cinquième génération des standards de la téléphonie mobile ne faiblit pas :
"On se précipite sur la 5G sans avoir réfléchi aux conséquences. Ou, plus grave encore, on y a réfléchi et on a décidé d’y aller malgré tout, sans égard pour les personnes, ni pour l’environnement. D’un côté, on fait des efforts pour diminuer notre empreinte carbone, on compte même sur la 5G pour cela. De l’autre, on va induire une pollution effarante avec une centaine de milliards d’objets connectés à construire puis à recycler, on ne sait pas encore comment. Sans compter d’innombrables data centers ultragourmands en énergie. C’est une démarche totalement schizophrène".